Le musulman vit entre l’espoir et la crainte.
Il espère la Miséricorde d’Allah, tout en l’équilibrant par la peur de Son Châtiment ; la crainte, une dissuasion contre les actes qui le mèneront à sa perte ; l’espoir, un port dans la tempête acharnée.
Le serviteur est conscient du besoin permanent du Pardon de son Seigneur, qu’il reconnaîtra que le seul moyen d’échapper au labyrinthe des péchés et de la transgression est de revenir à Allah repentant. C’est la seule vraie réussite.
De plus, comprendre ceci est essentiel également à la sauvegarde spirituelle de ceux que Shaytân a trompés et à qui il a insufflé que tout espoir est perdu et qu’il ne subsiste rien d’autre que la dépression et le désespoir.